The Doug est un très jeune artiste (originaire de Clermont-Ferrand) qui monte, imprégné des influences diverses, entres autres, de REM, de Gorillaz ou Bon Iver, et qui montre le bout de son nez dans le paysage de la scène française. Quand je l’écoute, je songe un peu à Bashung (la voix) et à Eddy de Pretto ou Zed Yun Pavarotti (déjà chroniqués par ailleurs) pour les arrangements et l’ambiance générale. On sent qu’il est parti du rap et qu’il est venu vers la chanson et que le chemin vers demain est fait d’un aller-retour fréquent entre ces deux genres.
« HLM en papier » (2022) : évocation touchante du quotidien, en banlieue, d’où il vient.